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Né en 1988, Maxime Fardeau vit et travaille en Bourgogne.
Photographe autodidacte, il explore le vaste monde de la photographie argentique. Maxime développe ses pellicules et produit ses tirages dans sa chambre noire en se basant sur des procédés argentiques traditionnels.
La série Cadaqués, réalisée en 2020, rend compte de sa visite dans cette ville emblématique de Salvador Dali.
L’artiste s’est alors lancé à la rencontre de ce village, ses habitants, ses odeurs, ses ombres et lumières autant que ses oiseaux et la mer. Ses photographies témoignent d’une sensation d’intemporalité, d’intimité, dans ces lieux qui ne changent pas, ne vieillissent pas.
Maxime Fardeau dévoile des instants suspendus, qui nous évoquent Cadaqués au temps de Dali mais aussi aujourd’hui : ses images sont éternelles, elles témoignent de cette ville qui ne change pas, figée dans un temps qui nous est à la fois lointain mais aussi intime.
Son travail est influencé par la philosophie zen et wabi-sabi d’Extrême Orient.
À Cadaqués, « petite ville blottie dans des bras de pierre, blanchie par le sel et les années », Maxime Fardeau navigue entre mer et montagne, convoquant des souvenirs qui ne lui appartiennent pas. Vues de loin, des âmes solitaires se baignent ou déambulent, indifférentes au reste du monde, impression que renforcent les cadres isolant leurs corps minuscules. Autant de fenêtres ouvertes vers un ailleurs rêvé, allusion directe aux toriis, ces portails sacrés jetant un pont vermillon entre dieux et mortels. « Les photographies, ces petits éclats de passé, peuvent devenir des clefs », assure Maxime Fardeau, dont les tirages argentiques prennent des virages sépia, demi-teinte du temps et de l’usure. La nostalgie ne sévit pas qu’au pays de Dali : des plages de Sydney aux lacs islandais, d’Hiroshima à Étretat, une même langueur rôde, surgie de nulle part et répandue partout. Ses polaroïds tirés sur du papier gampi rehaussé à la feuille d’or ne font pas exception : dans les rues, des ombres éblouies errent, emportant avec elles leur mystère.
Virginie Huet
2021
Solo show – Série Le sel des années et Torii / Là où
sont les oiseaux – Rencontres photographiques de Montpellier,
Boutographies
2020
Solo show – Série Le sel des années – InCadaqués,
international photo festival
Artist residency – InCadaqués, international photo festival
2019
Open Call official selection – Série Torii / Là où sont
les oiseaux – InCadaqués, international photo festival
Group show – Série Torii / Là où sont les oiseaux
– Le Grenier à sel, Avallon, France
Group show – Ensemble de polaroids – Festival
Polaroid is not dead, Rennes, France
2018
Exhibition – Série Empreintes – Tremas, Paris, France
Sélection officielle de l’Open Call – Série Agonie de la
lumière – InCadaqués, international photo
Group show – Série Empreintes – Atelier 62,
Avallon, France
Group show – Série Empreintes – Le Grenier à sel,
Avallon, France
First Award – Fisheye Magazine Poésie urbaine Contest
2017
Solo show Est-Nord-Est – La Karambole, Paris, France
2016
Solo show Hong Kong – myCowork, Paris, France
2015
Solo show De bois, de fer – Galerie La Lanterne, Paris, France
2014
Group show La main qui dessinait toute seule – Galerie Magda Danysz, Paris, France
2013
Group show – Galerie La Lanterne, Paris,
Second Prize and jury's favourite – Concours Kodak Nation «
Photographier la musique », Paris, France
2012
Solo show Bizarre Blizzard – XIème art, Paris, France
2016
Published in Polaroidoftheday.com
2015
Published in Impossible Project Magazine
Published in L’Oeil de la photographie about the exhibition De bois, de fer, Galerie La Lanterne, Paris, France
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